on
imaginerait le téton d’une baudruche à pralines c’est en réalité une aiguille
qui nichée dans le sillon de la langue déroule le canal imaginaire comme un
mirliton comment rester maître de son sissoyen alors que tout est lait au miel
et eau tiède sourire éternel et après-midi d’été dans le secret de la caverne
de coton clair avec sur la paroi l’ombre de la chevelure grosse comme un ours
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