ce stade est tellement grand que l’on dirait une
piscine mais son plafond n’est qu’une membrane qui sera tôt ou tard percée par
l’homme-araignée-dans-le-plafond qui par ce geste révèlera la beauté du monde
avec sa voie lactée se muant en pellicule de ouate et sa multitude de
bouscarles et les guêpes et tous ses parfums et le réveil de la nature qui se
mêle harmonieusement à Paris qui s’éveille
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire