on a beau dire tout ça
on ne dit rien parce que ces enfants qui ne quittent jamais le seuil de la
boutique s’évaporent pourtant dans le sommet des arbres et dans les grands
pignons de brique puis ils retombent
comme des gants de toilette sur le bois chaud d’un comptoir et comme des
corolles là où on les attend le plus et le moins à la fois ce qui crée l’impression
d’une évidente surprise c’est à la suite que tout retrouve doucement sa place
dans l’incontournable continuité
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire