la fille à la limite de l’albinisme souffle
comme une bucheronne tandis que l’autre avec ses chaussettes dépareillées
machouille du plastique dur comme une carapace de tortue d’où la difficulté c’est
grimaçant au possible et ça n’en finit pas c’est une grosse bête rageuse qui
respire de partout et qui en ruant projette du sable directement dans les
tympans
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